Qui suis-je?

Qui suis-je?

Je m’appelle Mélanie. J’ai 41 ans.

Femme, mère, thérapeute médium, énergéticienne, enseignante, amie, fille, compagne… Que répondre précisément à une question si vaste?
Je suis avant tout une être humaine, qui a le droit de vivre en parfaite sécurité et dans l’amour, bien que cela n’ait pas toujours été le cas. Je suis une humaine éprise de Nature. J’ai une connexion profonde avec Gaïa, dont je peux ressentir l’amour qu’elle me porte chaque jour. Un amour de mère, car je suis une de ses filles.

La liberté comme ligne de vie

Je suis une amoureuse inconditionnelle de Liberté! Pour moi, la Liberté réside dans l’esprit et le cœur. J’aspire à me libérer peu à peu de mes blessures d’âmes et de mes entraves pour pouvoir exprimer mon Être profond. C’est très important pour moi, car c’est à ce prix que je pourrais me mettre au service des autres et vous accompagner sur votre chemin. Mais aussi, je deviens capable d’exprimer tout l’amour dont mes enfants ont besoin pour se construire et devenir la meilleure version d’eux-mêmes. C’est une façon pour moi de lutter en faveur du respect d’autrui, et notamment du consentement.
J’ai bien conscience qu’il s’agit là de la quête de toute une vie.
Mais cette quête de la Liberté m’offre également une manière de ne pas rester enfermée dans mon rôle de victime.

Une ancienne victime de viols et agressions sexuelles en tout genre

Je suis également une ancienne victime de viols et j’ai vécu avant beaucoup d’autres agressions en tout genre, dont sexuelles. Je dis bien « ancienne », car les agressions ont cessé; et aujourd’hui, bien que j’en porte encore les stigmates par moments, on ne me viole plus. Je ne vis plus ce type de violence et je réussis jour après jour, à me reconstruire et à me renforcer!

Chaque événement que nous vivons et traversons peuvent nous faire terriblement souffrir et nous souhaitons, à un moment donné, que ces instants n’aient jamais existé! Nous souhaitons même n’avoir jamais vécu ou bien mourir! Mais lorsque les affres de la souffrance tombent petit à petit, et que nous parvenons à prendre du recul, nous pouvons donner un sens à tout ceci. Je sais, maintenant, que j’ai pris toute la mesure du mot « Respect », par exemple.

Pour ma part, je me sens animée par cette cause. Et ce dont j’ai le plus souffert, c’est de la solitude et de l’abandon de mon entourage. L’absence de repères à suivre pour avancer… J’ai énormément souffert de ne rien savoir: ni comment apaiser ma peine, ni comment être aidée, ni le nom des associations, ni les démarches de dépôts de plainte, etc. RIEN. J’étais seule et sans ressource.
Et je veux que cette souffrance par laquelle je suis passée, devienne quelque chose de positif. Alors c’est pourquoi, je suis aussi devenue blogueuse en créant ce contenu, à votre entière disposition.

Bonne visite!